Denis Karadaban
Go, Denis, go !
C’est « presque par hasard » que Denis Karadaban a découvert le jeu de go il y a dix ans, au collège, grâce à un ami.

Denis a étudié le go pendant six mois en Corée. ©Thierry Chenu
Très vite, il fréquente le club de go de Grenoble (désormais le plus important en France, avec une centaine d’adhérents) et s’initie sous la houlette de Dominique Cornuéjols.
Au fil des ans, sa pratique et sa passion s’intensifient au point qu’aujourd’hui, l’enseignante est devenue sa partenaire, notamment lors du championnat de France de pair-go (paires mixtes) qu’ils viennent de remporter ensemble.
Les règles du go sont finalement plus simples que celles des échecs, mais elles laissent beaucoup plus de place à la liberté et à la créativité. Au cours d’une partie, il est souvent impossible d’affirmer qu’un coup serait meilleur qu’un autre, tout est affaire de stratégie, mais aussi de style…
Après une licence de physique, Denis a étudié le go pendant six mois en Corée, où le jeu d’origine chinoise est désormais une institution, comme dans une grande partie de l’Asie, où l’on trouve des joueurs professionnels. « Pour moi, le go relève de l’art, on crée quelque chose avec les pierres. Parfois, quand j’observe une position sur un plateau, avant tout, je trouve ça beau…»
Renseignements divers
www.grenoble.jeudego.org
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